T        A   R A

CHALET CHARVIN

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Cultiver cette « Madeleine » de notre enfance, aller chercher les sensations qui y sont liées.

 

L’odeur du bois, du cèdre qui parfume naturellement une pièce,

Le toucher des matières, tantôt chaleureuses comme la laine des rideaux ou des dessus de lit, tantôt brutes comme le cuir. Le travail du granit bouchardé qui lui redonne son aspect originel.

Le regard sur les veines du bois du parquet, usé, travaillé, ce parquet là, a tant de choses à nous dire de ceux qui sont passé dessus. La lumière qui traverse la fenêtre et qui laisse poser son rayon de soleil pour nous réchauffer pendant un moment de lecture.

 

L’équilibre doux des couleurs et des matières, rien de clinquant, rien de brillant, juste une touche décorative de couleur d’une poterie chinée dans la boutique du village voisin.

 

On vient au chalet pour se retrouver, se reconnecter à ses valeurs naturelles et authentiques.

On range son sac en laine Arpin dans le dressing de la chambre et déjà, le vin chaud fume dans la tasse, sur la terrasse.